Cela faisait bien longtemps que nous rêvions d’assiter à un Grand Prix moto: ce sera chose faite d’ici quelques jours!!
En effet, Karine et Walter, des amis Ducatistes ont mise en place un petit voyage, séjour, de quelques jour direction l’Italie, San Marin et son Grand Prix. On allait pas râter ça!
Pour moi le départ est annoncé le 29 Aout 2007 depuis Genève, route Napoléon direction Cannes pour rejoindre Jérôme dans le sud. Voilà déjà 500 kilomètres dans les dents!
Sac à dos bien plein, le vrai départ se fera le 31 au petit matin depuis Grasse pour prendre la route vers la frontière Italienne, là encore 360 kilomètres pour rejoindre Piacenza, notre point de rencontre avec Karine, Walter (Haut-Savoyards), Moostik (Breton) et Marco (Région Parisienne). Nous avons tous un bon chemin à faire, mais ça ne nous fait pas peur.
10h du matin: Premier arrêt à la station service près de Genova: « Buongiorno!! »
Mais là, première sueur froide avec l’Hypermotard qui ne démarre plus. Heureusement, juste une cosse de baterie déssérrée, rien de grave. On resserre tout ça et c’est parti.
On se voyait mal rester bloqué là. Hop hop hop, on a rendez-vous à midi à Piacenza, faut pas trainer…
L’autoroute italienne et ces 40 tunnels n’est pas franchement drôle…mais c’est toujours mieux que la route nationnale qui est un bouchon non-stop de 400 kilomètres…
Finalement nous arrivons au point de rendez-vous à l’heure. Karine, Walter et les autres nous rejoignent pour manger à Piacenza, puis nous decollons tous ensemble, et nos 5 Ducati, direction Bologne! Environ 160 kilomètres entre PIacenza et Bologne, ville Ducatiste par excellence! Nous avons tous hâte de visiter le Musée ducati qui est une merveille.
Nous avons même eu l’honneur de voir une toute petite partie de la chaine de montage de la Desmosedici!
Le temps de boire un verre dans un petit pub de Bologne et nous sommes tous heureux de reprendre la route vers Catolica, (encore 130 kilomètres) à deux pas du circuit de Misano.
Cattolica: Une petite ville sympa, un hotel modeste mais un patron très sympathique.
La nuit d’Hotel sera réparatrice, les plus de 1000 kilomètres de route n’ont pas été sans effet sur l’état de notres dos et les sacs à dos nous ont bien attaqués les épaules.
Vivement demain, qu’on aille voir les premiers essai, visiter le circuit et ses alentours.
